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Richard Fremder raconte l’Histoire sur 5.000 ans au travers de récits, d’interviews, abordant les sujets les plus variés, avec le plus d’objectivité possible et toujours avec plaisir !
La nouvelle vague européenne à beaucoup influencé les réalisateurs du Nouvel Hollywood dans la mesure où eux aussi, ont compris qu’ils pouvaient casser les codes et imposer un nouveau mouvement dans le secteur du cinéma.
Aux Etats-Unis, on copie la nouvelle vague européenne pour rompre avec les bases classiques de rythme des films de l’époque. On a de nouveaux processus d’écriture et on a une redéfinition du principe même du personnage : on arrête de les glorifier et on pose des anti-héros, ce qui permet au spectateur de s’identifier en eux. On les voit surtout dans les films de guerre qui font référence au Vietnam : les soldats deviennent des victimes d’une guerre absurde. On montre les soldats comme tout le monde, avec des forces et des faiblesses.
Surtout que dans les années 50-60, ce n’est pas l’idéal à Hollywood et la télévision est en plein boom, le cinéma ne parait plus être quelque chose en raccord avec son temps. De nombreux thèmes sont encore très tabous comme la drogue, le sexe ou la violence, voire la nudité.
A la fin des années 60, prise de conscience : il faut créer un cinéma qui ressemble à la nouvelle jeunesse de ce pays qui flotte dans un contexte politique et social difficile…
C’est cette histoire, avec les films emblématiques que nous allons vous raconter dans cette émission.
Dans ce 4è et dernier épisode de l’Histoire de l’Ukraine, je reviendrai sur un épisode qui a forcément marqué les mémoires, l’Holodomor de 32-33, qui a fait près d’un million de morts. Puis, de retour dans l’après guerre, j’aborderai une autre famine, celle de 46-47, tout aussi terrible.
Pourquoi ces parties ? Car la course à la réussite agricole et industrielle aura été le fil rouge de l’Union soviétique, concrétisée sur le terrain ukrainien.
Enfin, les années Gorbatchev, la chute du mur et de l’URSS amèneront la liberté dans les pays satellites, dont l’Ukraine. Liberté, vraiment ? Nous verrons …
L’histoire de l’Hispanie musulmane ou d’Al-Andalus est un enjeu archétypique.
On veut nous faire croire qu’au Moyen Âge la péninsule Ibérique a connu une remarquable et inhabituelle cohabitation pacifique entre juifs, chrétiens et musulmans. Une admirable symbiose culturelle qui aurait duré vaille que vaille du VIIIe siècle jusqu’à l’expulsion des juifs en 1492, voire, jusqu’à l’expulsion des Morisques en 1609. Mais la réalité est évidemment bien différente.
C’est même le contraire.
Précaire et difficile, la coexistence a été très tôt insupportable et impossible.
Le monde infernal devient envahissant à la fin du Moyen Âge. Le diable, caché partout, semble parfois déborder sur terre en ces temps de catastrophes et de bouleversements marqués par les guerres, pestes, famines, révoltes, manifestations de satanisme, contestations sociales et religieuses.
Nous sommes en juillet 1799. L’Egypte est parcourue dans toute sa longueur par l’expédition de Bonaparte, arrivée le 19 mai 1798, et constituée de 167 savants et scientifiques experts dans tous les domaines : mathématiques, botanique, chimie, architecture… Ils composent la Commission des Sciences, chargée d’étudier l’Histoire, la faune, la flore, les minéraux, bref, de dresser un inventaire exhaustif de l’Egypte.
Bête à cornes ou ange déchu, le diable prend de multiples formes pour tenter les plus innocents d’entre nous. Mais qui est vraiment celui que l’on tient responsable de tous les vices ?
Interview Xpresso de Jean-Christian Petitfils (en partenariat avec le Salon
C’est parti, sur Twitch, en direct, des interviews, des news,
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